Roman d’amour personnalisé
La biche au bois
Un grand roman d’amour personnalisé au temps des tsars de Russie.
Fiche de lecture roman La biche au bois
Dans cette histoire, l’héroïne est une jeune princesse russe que sa marâtre a essayé de tuer, mais qu’une fidèle servante a sauvé en fuyant avec l’enfant ! Elle vit, incognito, dans une forêt, cachée dans la cabane du garde forestier qui l’a recueillie.
Le prince qui possède le domaine la découvre, un jour, au fond du bois et tombe amoureux d’elle.
Mais une dangereuse rivale, la fille de la marâtre, a des vues sur le prince et va tout faire pour l’éliminer.
La biche au bois pourra-t-elle vivre ce grand amour, reconquérir son statut de princesse et retrouver son père qui la croit morte depuis de nombreuses années ? Et, encore plus crucial, rester en vie ?
C’est tout le sel de cette grande aventure sentimentale emprunte de passion romanesque !
Vous le saurez en lisant le mot FIN ! (mais bon, on peut espérer que tout finira bien, non ?)
Ce roman d’amour personnalisé s’adresse à une femme entre 20 et 60 ans. (l’âge importe peu car l’histoire se déroule dans le passé, au temps des Tsars de Russie, à une époque de sa vie où l’héroïne est jeune).
√ Roman personnalisé de 270 pages
√ Couverture cartonnée souple
√ Format fermé : 145 x 205 mm
√ 25 éléments personnalisables
√ Couverture personnalisable
√ Temps à passer pour personnaliser votre roman : 10 minutes
√ Vous pouvez inclure une dédicace
√ Expédition en 2 jours ouvrés (hors week-end et jours fériés) + délai d’acheminement postal
Total : 4 à 5 jours.
√ Couverture non contractuelle.
Exemplaire identique supplémentaire (même personnalisation : imprimés en même temps) = -25% sur l’ensemble des exemplaires commandés.
Un prix « cadeau personnalisé » pour faire plaisir à toute la famille !
Renseignez le code promo au moment de payer la commande :
– à partir de 2 exemplaires identiques :
code =. 25 pourcent
Trois personnages à personnaliser :
Personnage principal N°1 : votre héroïne (une FEMME jeune).
Personnage principal N°2 : le prince russe (un HOMME entre 20 et 50 ans).
Personnage N°3 (secondaire) : la rivale qui veut épouser le prince et tuer l’héroïne (une FEMME entre 20 et 30 ans).
Chapitre I
Les hôtes du vicomte de Tercieux revenaient de Biarritz où ils avaient passé l’après-midi. Leurs équipages : landaus, calèches, victorias, roulaient le long de la route conduisant au château d’Uxage, entre les prés sur lesquels descendait l’apaisante beauté du soir. Au-dessus des bois qui marquaient la limite du domaine, le soleil finissait de s’éteindre en pâles reflets roses et sa lueur mourante traînait sur la campagne silencieuse. Dans les voitures se continuaient les conversations commencées au départ, la plupart potins mondains plus ou moins bienveillants. Il était surtout question aujourd’hui de l’attention que le prince Wittengrätz semblait accorder à la jolie Myrrha Nadopoulo, « cette enragée coquette », comme la qualifiait, non sans quelque aigreur, Madame de Tercieux.
M. d’Amblemeuse, diplomate en retraite, assis en face de la châtelaine, fit observer :
– Elle est diablement ensorcelante ! D’ailleurs, elle a de qui tenir. La belle comtesse Seminkhof, sa mère, est toujours l’enjôleuse que je connus à Moscou il y a douze ou treize ans, au moment de son remariage.
– Elle est d’origine grecque, n’est-ce pas ?
– … grecque, levantine, juive, ouzbek, turkmen… on ne sait trop. Je crois qu’il existe chez elle un mélange d’origines assez bigarrées. Ainsi, du reste, s’expliquerait son type un peu étrange.
– Mais le premier mari ?… L’avez-vous connu ?
– Non. Un riche négociant grec, paraît-il, que cette belle personne ruina en quelques années. Plus tard, elle réussit à prendre au filet un grand seigneur russe, veuf inconsolable d’une femme délicieuse appartenant à la plus haute aristocratie moscovite. Cette jeune comtesse Seminkhof, morte après trois ans de mariage, laissait à son mari une petite fille. Sur le conseil de ses amis qui le voyaient prêt à succomber au plus violent désespoir, il se mit à voyager. Au Caire, il rencontra Madame Ismène Nadopoulo, qui entreprit de le consoler – ce à quoi elle réussit tellement bien que, six mois plus tard, elle était comtesse Seminkhof.
Madame de Traimblay, blonde jeune femme assise à la droite de Madame de Tercieux, dit avec un petit rire d’ironie :
– Voilà bien le chagrin des hommes ! Mais il semble pas mal annihilé par sa femme, ce pauvre Seminkhof ?
– En effet… Soit dit entre nous, je ne le crois pas fort heureux.
– Oui, la belle Ismène ne doit pas être une compagne de tout repos, et l’égalité, la douceur du caractère ne sont probablement pas vertus habituelles chez elle. Mais la fille de la première femme, qu’est-elle devenue ?
– La pauvre fille fut victime d’un accident. Elle se noya, et avec elle sa gouvernante française qui avait sans doute voulu lui porter secours.
(…)
Questionnaire de personnalisation du roman
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AVANT personnalisation du roman :
1
Les hôtes du vicomte de Tercieux revenaient de Biarritz où ils avaient passé l’après-midi. Leurs équipages : landaus, calèches, victorias, roulaient le long de la route conduisant au château d’Uxage, entre les prés sur lesquels descendait l’apaisante beauté du soir. Au-dessus des bois qui marquaient la limite du domaine, le soleil finissait de s’éteindre en pâles reflets roses et sa lueur mourante traînait sur la campagne silencieuse. Dans les voitures se continuaient les conversations commencées au départ, la plupart potins mondains plus ou moins bienveillants. Il était surtout question aujourd’hui de l’attention que le prince Wittengrätz semblait accorder à la jolie Myrrha Nadopoulo, « cette enragée coquette », comme la qualifiait, non sans quelque aigreur, Madame de Tercieux.
Mr d’Amblemeuse, diplomate en retraite, assis en face de la châtelaine, fit observer :
– Elle est diablement ensorcelante ! D’ailleurs, elle a de qui tenir. La belle comtesse Seminkhof, sa mère, est toujours l’enjôleuse que je connus à Moscou il y a douze ou treize ans, au moment de son remariage.
– Elle est d’origine grecque, n’est-ce pas ?
– … grecque, levantine, juive, ouzbek, turkmen… on ne sait trop. Je crois qu’il existe chez elle un mélange d’origines assez bigarrées. Ainsi, du reste, s’expliquerait son type un peu étrange.
Si vous validez les textes suivants…
Nom du prince : Moretton
Prénom de la rivale : Nadia
Nom de la rivale : Minoen
Nom de l’héroïne (qui est aussi celui de sa marâtre) : Dupont
Nationalité de la mère de la rivale : suédoise
… le résultat se présentera ainsi :
APRÈS personnalisation du roman :
1
Les hôtes du vicomte de Tercieux revenaient de Biarritz où ils avaient passé l’après-midi. Leurs équipages : landaus, calèches, victorias, roulaient le long de la route conduisant au château d’Uxage, entre les prés sur lesquels descendait l’apaisante beauté du soir. Au-dessus des bois qui marquaient la limite du domaine, le soleil finissait de s’éteindre en pâles reflets roses et sa lueur mourante traînait sur la campagne silencieuse. Dans les voitures se continuaient les conversations commencées au départ, la plupart potins mondains plus ou moins bienveillants. Il était surtout question aujourd’hui de l’attention que le prince Moretton semblait accorder à la jolie Nadia Minoen, «cette enragée coquette», comme la qualifiait, non sans quelque aigreur, Madame de Tercieux.
Mr d’Amblemeuse, diplomate en retraite, assis en face de la châtelaine, fit observer :
– Elle est diablement ensorcelante ! D’ailleurs, elle a de qui tenir. La belle comtesse Dupont, sa mère, est toujours l’enjôleuse que je connus à Moscou il y a douze ou treize ans, au moment de son remariage.
– Elle est d’origine suédoise, n’est-ce pas ?
– …suédoise, levantine, juive, ouzbek, turkmen… on ne sait trop. Je crois qu’il existe chez elle un mélange d’origines assez bigarrées. Ainsi, du reste, s’expliquerait son type un peu étrange.
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