Livre personnalisé policier
Blanc comme neige
Livre personnalisé policier Blanc comme neige
Fiche de lecture roman Blanc comme neige
Tout commence par un simple coup de téléphone. À 4 heures du matin et anonyme, bien sûr ! Un détraqué vient de vous coucher sur sa liste noire.
Quand, enfin, vous réalisez ce qui vous arrive, il est déjà trop tard. Un implacable engrenage est en route Dans votre ville, tous ceux qui portent le même nom que vous (ou presque) disparaissent ou sont assassinés. Il ne vous reste plus que sept jours à vivre… et le temps tourne à la neige.
Vous allez vite vous rendre compte que ce psychopathe à vos trousses ne rigole pas ! Il ne se contente pas de tuer : il massacre et torture ses victimes avec un plaisir évident.
Alors, on passe l’arme à gauche dimanche ? Qu’est ce qui pourra vous sauver ? Vos amis qui essayent de vous aider à comprendre ? Parce que la police… bof… elle ne se remue pas beaucoup à votre goût.
Réponse au mot FIN !
Ce livre personnalisé à suspense s’adresse à une FEMME ou à un HOMME idéalement entre 20 et 65 ans. Nota : on peut aussi, personnaliser pour une personne à la retraite en adaptant le questionnaire en conséquence.
Ce terrible suspense se déroule dans SA ville, dans SON environnement.
Vous pouvez intégrer ses deux meilleurs amis dans l’histoire : un homme + une femme. Ainsi qu’un quatrième personnage qui a un petit rôle.
√ Livre personnalisé de 160 pages
√ Couverture cartonnée souple
√ Format fermé : 145 x 205 mm
√ Plus de 30 éléments personnalisables
√ Couverture du roman personnalisable
√ Temps à passer pour personnaliser votre roman : 10 minutes
√ Vous pouvez inclure une dédicace
√ Expédition en 2 jours ouvrés (hors week-end et jours fériés) + délai postal. Total : 4 à 5 jours.
√ Couverture non contractuelle.
DÉGRESSIF POUR QUANTITÉS :
Exemplaires identiques supplémentaires (même personnalisation : imprimés en même temps) = -25% sur l’ensemble des exemplaires commandés.
Un prix « cadeau personnalisé » pour faire plaisir à toute la famille ! Renseignez le code promo au moment de payer la commande :
– à partir de 2 exemplaires identiques :
code = 25 pourcent
Quatre personnages à personnaliser :
Personnage principal : votre héros/héroïne (un HOMME ou une FEMME entre 20 et 80 ans).
Personnage N°2 : son meilleur ami dans le livre personnalisé (un HOMME qui l’aide à découvrir qui le (ou la) menace).
Conseil : rôle parfait pour son meilleur ami dans la vraie vie.
Personnage N°3 : une journaliste FEMME qui l’aide à découvrir qui le (ou la) menace.
Conseil : rôle parfait pour sa meilleure amie dans la vraie vie.
Personnage N°4 : le patron du restaurant où le personnage principal a ses habitudes (un HOMME).
Prologue
Il a garé sa voiture à deux pas de là. Une voiture grise. Ou bien c’est la nuit tombée qui ruisselle, métallique, sur la carrosserie. Il est resté immobile dans l’habitacle pendant une demi-heure. Il a l’habitude d’attendre.
Un homme âgé est arrivé, face à lui, de la démarche ballante de ceux qui manquent de souffle. Sur le perron du numéro 10, il a marqué une pause, a fouillé ses poches, s’est retourné vers la rue comme pour l’interroger. Puis il a trouvé sa clé. La porte vitrée s’est refermée sur lui.
Quelque chose s’est brisé à l’étage, (des assiettes ?), une femme est passée derrière une fenêtre du second. De sa voiture, il a vu la lumière s’éteindre dans la cage d’escalier. Le mieux, c’est de patienter encore une dizaine de minutes. Pour être sûr.
Un gamin a traversé le square avec un colley, un couple a couru vers un taxi, un autre chien, seul et maigre, a pissé contre une poubelle, et une bourrasque a dévié son jet.
Personne ne l’a vu. Il sait comment se fondre dans l’environnement.
A vingt heures, il est sorti de la voiture, côté trottoir, une mallette volumineuse à la main. Il a sonné, l’interphone a grésillé, il s’est présenté. La porte s’est ouverte sur un escalier de pierre. On entend nettement la télévision du deuxième étage, c’est l’heure des infos.
Parfait.
Rapidement, il est monté au premier, la porte est entrebâillée : une attention charmante. Il est entré dans la lumière safranée du salon et le petit homme lui a dit bonsoir docteur, en se levant avec précaution. Son sourire, sec comme une ardoise, l’a fait se rasseoir. Le médecin a ouvert sa mallette, tout en repérant la prise de courant la plus proche.
Il faudra débrancher la radio.
– Le docteur Vairon n’était pas disponible ? a demandé le vieux.
Alors, il a mis dans sa réponse la douceur du miel d’acacia, et dans ses yeux l’assurance moelleuse des médecins :
– Ne vous inquiétez pas, c’est pareil. Un petit contrôle, il y en a pour cinq minutes. Je ne vous dérangerai pas plus.
De sa mallette noire, il a sorti un électrocardiographe, un transformateur, des électrodes, et des gants de latex qui ont claqué sur ses poignets. L’homme assis a sursauté.
– Pardon, s’est excusé le visiteur, voulez-vous bien ouvrir votre chemise ?
Le malade a l’habitude de cet examen, mais il est lent. Ne pas s’impatienter surtout. Ne le toucher que si c’est nécessaire.
Sa peau est blême, une cicatrice rosée barre son plexus ; une mouche s’y pose une seconde, qu’il chasse d’une main lasse.
Il y a un petit pot de conducteur où il va pêcher une noisette de gelée. En une minute, l’installation est prête : deux électrodes sont fixées sous le sein gauche et une autre sur le plexus. Le cardiographe connecté au transformateur. De ses doigts gantés, il débranche la radio et alimente son matériel. Encore, il sourit calmement à l’homme qui frissonne sous le plafonnier jaune, tandis que le transfo émet un imperceptible bourdonnement.
– Juste une minute et ce sera fini. Détendez-vous.
Il règle l’intensité, le potentiomètre s’aligne sur 5000.
La décharge a soulevé le vieux de son fauteuil ; le cri est resté dans sa bouche et sa langue blanchie s’est tordue vers l’arrière. Quelques secondes ont suffi, la chair a bruni sous les patches, ses mains ont saisi les accoudoirs. Arc-bouté sous la lampe vacillante, ses yeux ont raclé l’air, cherchant un appui, soudain irrigués de colère. Enfin, il a basculé sur sa poitrine où les électrodes grésillent comme des guêpes chaudes. Son corps a sursauté deux fois, ses doigts se sont ouverts et son index s’est tendu vers l’homme impassible.
A sa montre, il est vingt heures quinze. Le vieux n’a plus de pouls.
Il a défait son installation, méthodiquement. Nettoyé le torse avec l’eau de toilette du vieux et reboutonné sa chemise sur les brûlures. Lavé le nez qui a saigné. Vérifié s’il n’a pas fait dans son froc. Rebranché la radio, remballé son matériel et la ouate rougie. Au-dessus, un couple s’engueule dans le vacarme de la télévision. Un peu de sang noir coule du nez. Il l’essuie. Puis il allume un petit cigare, le fait rougir, tire une bouffée et, fermement, marque les poignets du vieux du bout incandescent jusqu’à ce que la chair cède.
Parfait.
Il n’a rencontré personne. Les gants de latex et le cigare éteint sont dans la mallette. Dans moins d’une heure, il ne restera plus une trace.
La nuit l’a pris dans son secret.
Deux rues plus loin, il allume les phares.
Parfait. Et d’un.
Questionnaire de personnalisation
IMPORTANT : vous pouvez TESTER le formulaire. Mais pour le VALIDER, il faut d’abord passer commande et préciser votre N° de commande dans le formulaire !
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Créer mon livre personnalisé polar Blanc comme neige
Comment personnaliser mon livre à suspense Blanc comme neige
L’extrait, ci-dessous, montre comment sera modifié votre livre personnalisé. Les réponses au questionnaire, seront intégrées dans le roman à des endroits précis. Voici un exemple :
AVANT personnalisation du roman :
Wilfried s’ennuyait. (…) Depuis sa sortie de prison, il y a six mois, il vivotait. Les temps étaient plutôt durs : il n’avait plus une tune en poche. Aussi, lorsqu’on l’avait appelé au Bar du Sapeur où il traînait souvent sa misère, il ne s’était pas fait prier deux fois pour accepter la proposition. (…) On lui avait donné le nom de la personne, l’adresse et tout ce qu’il avait besoin de savoir. Ils lui avaient même donné une photo. Plutôt un joli minois. A son goût en tous cas. Cheveux bruns, mi-longs… Yeux marron… (…) La chose semblait assez facile. Dommage pour elle, mais elle l’avait sans doute cherché.
Il regarda à nouveau le nom griffonné sur la photo. Cathy de Sainteonge. C’était joli comme nom…
Si vous validez les textes suivants…
Prénom de l’héroïne : Catherine
Nom de l’héroïne : Vandevielle
Couleur des cheveux : blonds
Longueur des cheveux : coupés courts
Couleur des yeux : bleus
… le résultat se présentera ainsi :
APRÈS personnalisation du roman :
Wilfried s’ennuyait. (…) Depuis sa sortie de prison, il y a six mois, il vivotait. Les temps étaient plutôt durs : il n’avait plus une tune en poche. Aussi, lorsqu’on l’avait appelé au Bar du Sapeur où il traînait souvent sa misère, il ne s’était pas fait prier deux fois pour accepter la proposition. (…) On lui avait donné le nom de la personne, l’adresse et tout ce qu’il avait besoin de savoir. Ils lui avaient même donné une photo. Plutôt un joli minois. A son goût en tous cas. Cheveux blonds, coupés courts… Yeux bleus… (…) La chose semblait assez facile. Dommage pour elle, mais elle l’avait sans doute cherché.
Il regarda à nouveau le nom griffonné sur la photo. Catherine Vandevielle. C’était joli comme nom…
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