Livre personnalisé Science Fiction

Ce roman personnalisé est un grand classique de la littérature de science-fiction. CELUI à qui vous allez offrir sera pris dans un engrenage dont il aura du mal à sortir indemne.

Il s’adresse à un HOMME d’âge indifférent.

Dans cet ouvrage, le roman d’origine a une fin sombre : le héros renonce à son amour et à la liberté et finit par accepter le joug de la dictature.

Aussi, nous avons créé une FIN ALTERNATIVE POSITIVE. Malgré les menaces et la torture, les deux personnages tiennent bon et ne renoncent pas : leur amour triomphe de tout. Le héros et l’héroïne restent amoureux et conservent leur esprit de liberté. L’homme à qui vous offrirez ce roman d’anticipation personnalisé est décidément quelqu’un qui ne cède pas et va jusqu’au bout de ses idées et de ses opinions. Sacré caractère !

À vous de choisir la fin de ce grand et beau livre…

√ Roman personnalisé de 315 pages

√ pour HOMME

√ Couverture cartonnée souple

√ Format fermé : 145 x 205 mm

√ Plus de 30 éléments personnalisables dont une fin alternative

√ Couverture personnalisable

√ Temps à passer pour personnaliser votre roman : 10 minutes

√ Vous pouvez inclure une dédicace

√ Personnalisation en 48H ouvrés (hors week-end et jours fériés) + délai postal 

Total : 4 à 5 jours.

√ Couverture non contractuelle.

Exemplaires identiques supplémentaires  (même personnalisation : imprimés en même temps) = -25% sur l’ensemble des exemplaires commandés.

Un prix « cadeau personnalisé » pour faire plaisir à toute la famille !

Renseignez le code promo au moment de payer la commande :

– à partir de 2 exemplaires identiques :

code =  25 pourcent

Trois personnages à personnaliser :

Personnage principal : le héros (un HOMME qui peut avoir n’importe quel âge). Il se rebelle contre Big Brother en osant lire un livre interdit et en vivant une belle histoire d’amour.

Personnage N°2 : une femme, dont le héros tombera amoureux et avec laquelle il vivra une aventure charnelle.

Personnage N°3 : le faux ami : un notable du parti qui trahira le héros et l’enverra dans les géoles du parti subir la torture pour le remettre dans le « droit chemin ».

Première partie

CHAPITRE I

C’était une journée d’avril froide et claire. Les horloges sonnaient treize heures. Winston, le menton rentré dans le cou, s’efforçait d’éviter le vent mauvais. Il passa rapidement la porte vitrée du bloc des « Maisons de la Victoire », pas assez rapidement cependant pour empêcher que s’engouffre en même temps que lui un tourbillon de poussière et de sable. Le hall sentait le chou cuit et le vieux tapis. À l’une de ses extrémités, une affiche de couleur, trop vaste pour ce déploiement intérieur, était clouée au mur. Elle représentait simplement un énorme visage, large de plus d’un mètre : le visage d’un homme d’environ quarante-cinq ans, à l’épaisse moustache noire, aux traits accentués et beaux.

Il se dirigea vers l’escalier. Il était inutile d’essayer de prendre l’ascenseur. Même aux meilleures époques, il fonctionnait rarement. Actuellement, d’ailleurs, le courant électrique était coupé dans la journée. C’était une des mesures d’économie prises en vue de la Semaine de la Haine.

Son appartement était au septième. À chaque palier, sur une affiche collée au mur, face à la cage de l’ascenseur, l’énorme visage vous fixait du regard. C’était un de ces portraits arrangés de telle sorte que les yeux semblent suivre celui qui passe. Une légende, sous le portrait, disait : BIG BROTHER VOUS REGARDE.

À l’intérieur de son appartement, une voix sucrée faisait entendre une série de nombres qui avaient trait à la production de la fonte. La voix provenait d’une plaque de métal oblongue, miroir terne encastré dans le mur de droite. Winston tourna un bouton et la voix diminua de volume, mais les mots étaient encore distincts. Le son de l’appareil (du télécran, comme on disait) pouvait être assourdi, mais il n’y avait aucun moyen de l’éteindre complètement. Winston se dirigea vers la fenêtre. De taille moyenne, sa stature était soulignée par la combinaison bleue, uniforme du Parti. Il avait les cheveux coupés courts, le visage pâle et la peau durcie par le savon grossier, les lames de rasoir émoussées et le froid de l’hiver qui venait de prendre fin.